vu à travers le tube • non, je ne lui pardonne pas…


Les crimes de l'Eglise : l'Inquisition.
Alors qu’en France, l’enfant – celui qui fait office de Roi – a encore fait son caprice - sa piscine, rien qu’à lui, celle que les pauvres lui ont offerte, ne lui plaît pas, le morveux préférant la mer, ce qui est bien naturel puisque déjà il a préféré sa mère, pour épouser, à ce merveilleux trou rempli d’eau au milieu de son fort militaire qui lui sert de colonie de vacances -, en Argentine, on discutaille pour savoir si l’on doit légaliser l’avortement – à l’heure où j’écris, le « non » l’a peut-être déjà emporté -. C’est que là bas – et ailleurs aussi -, l’Eglise – catholique et protestante – se mêle de ce qui ne la regarde pas et que pour elle, il s’agit de ne pas de mettre en danger la vie de l’enfant et de la mère parce que pour l’Eglise, la vie c’est sacrée, ce qui me fait bien rire quand on a connu la Saint-Barthélemy, les croisades, la question ordinaire et extraordinaire, les meurtres de l’histoire perpétrés par les papes différents, les propos du dernier d’entre eux qui a comparé l’avortement aux pratiques des nazis. Et de plus, on croit rêver, quand on constate qu’en 2018, l’Eglise est toujours sur pieds malgré ses abominables crimes surtout quand on sait – et tout le monde le sait – que Dieu n’existe pas. Pauvre monde ! Comment une femme a-t-elle pu oser me propulser sur cette terre de minables crapauds imbéciles ? En tout les cas, je ne lui pardonne pas…


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