Pour commencer ce tube, une histoire
drôle. Hier, 300 000 gogos-ballon se pressaient comme un citron sur les champs
pour admirer la sculpturale musculature des individus qui, à Moscou, ont fait
joujou avec un ballon. Ils sont arrivés avec deux heures de retard et ont mis
un quart d’heure pour descendre l’avenue alors qu’on leur avait promis une
exhibition théâtrale de quatre heures. Ils étaient pressés de rejoindre le Roi
et la Reine Mère au palais impérial et retrouvé leur Roi bien-aimé qui n’a jamais autant gloussé depuis hier et qui glousse encore. Et
puis, les gogos déçus ont fait le pied de grue devant un hôtel – je crois – où
devaient passer leur héros pour leur adresser un geste amical, gentil, courtois, réconfortant,sympathique, amical,
de la fenêtre. Les héros des gogos ne sont pas venus. Quand je dis que le
peuple-gogo, caractérisé par une naïveté de plus en plus insistante et aussi très beaucoup maladive, n’intéresse pas ceux qui possèdent les manettes, je ne
crois pas me tromper. Dommage que je sois seul à le dire.
Pour terminer, une histoire drôle –
dans les jours qui suivent ce matin, je reprendrai mes histoires tristes -.
Trump a fait courbette à Poutine. Attention le rouquin rigolo a plus d’un tour
dans son sac : courbette, avec lui, peut être coup de pied cul. Et comme,
donc, il a fait courbette, voilà que les américains sont devenus comme fous
furieux. Ben oui ! Ils sont racistes : il n’aime pas les russes,
alors que comme vous le savez - comme "on" vous l'a appris et enfoncé dans le crâne et comme je le répète chaque matin – mais aussi à
d’autres moments de la journée – on doit aimer sont voisin de palier même si c’est
un con. Moi j’ai une voisine. Je ne l’aime pas. Mais moi, c’est moi. Je me suis
dispensé des règles de l’usage.
Ben… voilà ! C’est tout pour ce
matin. Et ce n’était que du drôle !
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