Regarder et écouter « Stars de demain », émission de l’intelligence, de la culture, de l’humanisme, de la sensibilité, conçue et présentée par un Rolando Villazon surexcité, comme toujours, mais merveilleusement humain, c’est assister à une grande leçon de musique où le plaisir est inégalé. Je vois dans ce moment rare à la télé – mais aussi ailleurs – une jeunesse vivante – vivante avant toutes considérations -, passionnée, engagée, super-compétente, amoureuse de la musique et ayant la capacité de la traduire sans le copier-coller des « grands ». Hier, le ténor, dans une simplicité déconcertante, dans un style dépouillé, dans une posture simple et naturelle a envoyé notre célèbre Kaufmann aux oubliettes. L’altiste, dans une concentration naturelle, avec une sonorité aérienne, pleine, profonde et sans le moindre m’as-tu vu, a déclassé tous ces collègues, même le merveilleux Antoine Tamestit. L’orchestre des jeunes de Berlin et leur jeune cheffe du jour ont joué, eux aussi, avec une maîtrise naturelle incroyable avec une justesse, une précision et une clarté dont les soi-disant « grands » devraient peut-être s’inspirer. Arte, 18h30, encore deux dimanche de bonheur !
les écureuils de central park sont tristes le lundi
vu à travers le tube • vivre enfin…
Regarder et écouter « Stars de demain », émission de l’intelligence, de la culture, de l’humanisme, de la sensibilité, conçue et présentée par un Rolando Villazon surexcité, comme toujours, mais merveilleusement humain, c’est assister à une grande leçon de musique où le plaisir est inégalé. Je vois dans ce moment rare à la télé – mais aussi ailleurs – une jeunesse vivante – vivante avant toutes considérations -, passionnée, engagée, super-compétente, amoureuse de la musique et ayant la capacité de la traduire sans le copier-coller des « grands ». Hier, le ténor, dans une simplicité déconcertante, dans un style dépouillé, dans une posture simple et naturelle a envoyé notre célèbre Kaufmann aux oubliettes. L’altiste, dans une concentration naturelle, avec une sonorité aérienne, pleine, profonde et sans le moindre m’as-tu vu, a déclassé tous ces collègues, même le merveilleux Antoine Tamestit. L’orchestre des jeunes de Berlin et leur jeune cheffe du jour ont joué, eux aussi, avec une maîtrise naturelle incroyable avec une justesse, une précision et une clarté dont les soi-disant « grands » devraient peut-être s’inspirer. Arte, 18h30, encore deux dimanche de bonheur !
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