Où l’on découvre que la principale
accusatrice de Weinstein est une femme dans toute sa splendeur. Le soi-disant
violeur et sa victime effarouchée ont entretenu une relation amoureuse
durant plusieurs années après le viol dont elle l'accuse et la dame d’ajouter : « Je l'aime, toujours. Mais je
déteste avoir l'impression d'être un plan cul. » Quand on couche,
imbécile, c’est toujours un plan cul ! Voilà déjà une accusation qui
s’effondre et c’est précisément celle qui a déclenché toutes les ignominies,
toutes les énormités dont Schiappa la psychopathe frustrée nous rabat les oreilles
à longueur de journée. Si la femme veut sa liberté - puisqu’elle affirme ne pas
l’avoir -, qu’elle apprenne à se défendre avec ses poings, ses pieds, un
couteau de boucher ou un fusil à baïonnette et qu’elle cesse ses jérémiades
pour nous apitoyer. Dans une relation à deux, positive ou négative, les deux
sont concernées donc responsables, donc coupables et ceci, chacun à 100%. C’est
Freud qui l’a affirmé et qui l’a démontré. Je sais. A peine 1% des populations
a compris son analyse de l’être humain et le reste le vomit. Si les 99% restant le vomit, c'est
par ignorance, par peur de se découvrir dans le miroir, et par la terreur que provoque la possibilité de
pouvoir changer sa manière de vivre. Tout être censé devait admettre son
crétinisme qui nous amène aujourd’hui au réchauffement climatique dévastateur et à l’arrivé
– après Hitler – d’un dictateur à l’Elysée…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire