vu à travers le tube • l’affaire benalla ? non, l’affaire du roi…


Le Roi de France a donc parlé, dans l’ombre de l’antre de l’Elysée. C’est un petit doigt m’a dit qui s’est faufilé et qui a rapporté. L’enfant juge – comme s’il découvrait les crimes qu’il a commandités – le comportement de Benalla inacceptable car, selon lui, nul n’est au-dessus des lois (wouah !). C’est pas gentil pour son ami, son copain, son confident, son confesseur, son complice. Il a dit aussi qu’il parlera quand il le jugera utile. Ben quoi ? Il est quand même le Roi ! Il ne va pas obéir au doigt et à l’œil à ceux qui réclament méchamment justice d’autant que le seul coupable c’est lui ! Il n’y a pas d’affaire Benalla. Il y a affaire d’Etat. Il y a affaire de Roi. Et tout ceci, une fois encore, démontre bien qu’il faut inventer la démocratie.


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