« Schönberg est mort » : tel est le
titre, resté fameux, d'un article que le jeune Pierre Boulez écrivit peu après la disparition de l'auteur de Pierrot
lunaire. Il s'agit d'un cas classique de « meurtre du père »,
car le compositeur Boulez n'existerait pas sans Schönberg, pas plus que
Stockhausen, Nono (son gendre !) ou les autres pionniers du sérialisme
dans les années d'après-guerre ; ceux-ci se réclamaient sans doute
davantage d'Anton Webern (sauf, précisément, Nono), mais Webern, tout comme Alban Berg,
est impensable sans Schönberg. Arnold Schönberg demeure plus admiré qu'aimé (sauf d'une
minorité) ; il suscite aujourd'hui encore bien des polémiques et des
aversions, voire des haines, et sa musique, à
l'exception de l'une ou l'autre page de jeunesse, ne s'est pas intégrée au
grand répertoire des concerts : il n'atteint pas, et n'atteindra sans
doute jamais, à la popularité de son grand antipode, Igor Stravinski. Et
pourtant, il a eu encore plus d'importance historique, la plus grande pour son
temps, un temps qui suit immédiatement celui de Debussy…
https://www.universalis.fr/encyclopedie/arnold-schonberg/
Le 13 juillet 1951, il y a 67 ans aujourd’hui, décédait à Los Angeles le compositeur autrichien Arnold Schönberg. Il était âgé de 67 ans…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arnold_Sch%C3%B6nberg
Schönberg - Moses
und Aron
Bochumer
Symphoniker
Conductor:
Michael Boder
ChorWerk
Ruhr
Moses
– Dale Duesing
Aron
- Andreas Conrad
Ein
junges Mädchen - Ilse Eerens
Eine
Kranke - Karolina Gumos
Ein
junger Mann - Finnur Bjarnason
Der
nackte Jüngling - Michael Smallwood
Ein
anderer Mann/Ephraimit - Boris Grappe
Ein
Priester - Renatus Meszar
Vier
nackte Jungfrauen - Ilse Eerens, Hanna Herfurtner, Karolina Gumos - Constance
Heller
et aussi…
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