vu à travers le tube • l’horreur de la vindicte populaire…

Si Bertrand Cantat n’avait pas frappé – coups ayant provoqué la mort – une actrice célèbre, fille d’un acteur non moins célèbre, mais une bonne à tout faire ou une femme de ménage, il ne ferait pas en permanence la une de l’actualité parce que des gens veulent lui faire payer un crime indirect qu’il a déjà payé. Gloser sans cesse sur ses problèmes psychologiques, surtout de la part de gens « bien comme il faut », des grands malades qui ont besoin d’un psy dans l’urgence, est un crime encore plus pervers, parce ce que voulu et calculé pour satisfaire l’instinct sauvage, sadique et meurtrier qui est en chacun d’entre nous. Ceux qui l’empêche de travailler veulent sa mort. Et j’appelle cela des lâches, des monstres et avant tout des ignorants… des pauvres types, mieux… des pauvres cons !



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