Je résume la journée du 1e mai. Des milliers de gentils citoyens ont défilé dans Paris, non pas à la gloire du travail – il faudrait être con pour cela – mais pour dénoncer les crimes du Roi de France. 1 200 méchants citoyens en ont profité pour casser un Mac Donald, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi. La police n’a pas pu tous les arrêter, d’abord parce qu’elle a commencer son travail très en retard et puis parce qu’il y avait plus urgent : tabasser des pauvres gens qui sirotaient à la terrasse d’un café. Voilà. C’est tout. Et j’en vois encore qui sont étonnés ! Mais nous sommes en monarchie dictatoriale depuis des siècles messieurs-dames !
L’Europe – cette stupide machine de crétins – veut rendre le congé parental pour le monsieur qui n’a pas porté l’enfant, qui n’a pas accouché et qui ne sait pas faire chauffer un biberon et qui sen fout, jusqu’à 4 mois. Heureusement que je ne suis pas concerné, parce que si cela m’arrivait, je ferais de suite une grave dépression. Madame a voulu un enfant : qu’elle assume. Elle n’en voulait pas et ne savait pas que la contraception avait été inventée et elle voulait quand même faire l’amour : qu’elle avorte. Et ne croyez pas que je sois contre l’égalité des sexes. Je constate seulement. L’enfant apparaît dans le corps de la femme. Il est la chair de sa mère. Elle seule peut assurer son épanouissement. Le père, lui, il n’a qu’un devoir – s’il en a la capacité –, c’est d’aimer la mère de l’enfant et de le montrer. Entre le fossé abyssal entre les pauvres et les riches, le problème du couple, la nécessité – en 2018 – de poursuivre la ponte d’enfants et l’invention de la démocratie, il y a du boulot. Bonne chance les jeunes. Moi je suis juste à côté de la porte qui ouvre sur le néant. Je n’en ai plus rien à foutre !
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