Ce devait être un « raz de marée
populaire ». Ce fut un « raz le bol Mélenchon ». L’impertinent
fociféreur aux dents de lion ne fait plus l’unanimité des gens qui se veulent
libre et qui demandent à ce qu’on invente la démocratie. L’échec de cette
journée – car ce fut bien un échec – est entièrement dû aux aboiements inutiles
de Mélenchon qui n’a pas compris – serait-il sénile ? – que sa place
n’était pas à Marseille – trop éloigné du château du Roi de France -, mais à
Paris, tout près de l’Elysée. Le menteur n’a pas compris qu’il ne fallait pas
disséminer les défilés dans toute la France, mais les concentrer à Paris pour
donner une impression de foule compacte et déterminée, même si celle-ci ne peut
impressionner l’enfant-Roi, car rien ne peut impressionner le robot-ordinateur
soumis à sa maman qu’il a épousée. Le godillot-ministre de l’Intérieur a même
été obligé de déclarer que les manifestants étaient coupables de ne pas s’être
attaqués aux voyous cagoulés, comme si la loi autorisait les gens à faire
justice eux-mêmes. Si l’avenir ne peut-être que l’arrestation du Roi et de la
Reine-mère, il ne peut être dans les mains de ce vieillard calculateur et
renfrogné qui se voit déjà Roi à la place du Roi.
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