Par quoi commencer devant cette avalanche de violence qui surgit de tous les côtés – je ne parle pas des gentils jeux parigos de ce 1e mai -. L’enfant immature, le Roi de France, n’a pas hésité, avant de partir en ballade au tour du monde, a réaffirmer son arrogance en insultant la partie du peuple en grève et ceux qui tiennent un discours d’agitation alors que lui ne cesse de tenir des discours de mépris. Il a redit qu’il ne céderait à aucun de ses caprices et que rien - ni personne - ne pourra atteindre ses amis les riches. Et il en a remis une couche en décidant de supprimer l’exit tax. Les femmes et hommes en noir du 1e mai ne sont que la conséquence du trou abyssal entre les riches et les pauvres et de la maltraitance permanente de ces derniers. Le Dictateur n’a pas appris qu’a force de tirer sur la corde, la corde casse et libère la lame qui tranche les cous. Et pendant que je parle du pouvoir, autant me débarrasser de Schiappa, la godillote-ministre - arrogante comme son maître – que France Inter s’est cru bon d’inviter et qui a débité son habituel venin contre l’homme dont elle ne veut plus, sinon de la race, au moins de son horrible pendentif qui bat la mesure sous son ventre. J’espère que le prochain Roi de France – il y en aura un obligatoirement – créera le ministère de la sauvegarde de l’homme, avant que celui-ci ne disparaisse définitivement. Et pour en terminé – et avant l’extinction de la race -, un mot sur Bertrand Cantat qui vient d’être exclu de l’Olympia. Et c’est un vrai scandale. Cet homme a purgé sa peine. Puisque certains aiment ce qu’il fait et souhaitent le voir en salle et l’applaudir, je ne comprends absolument pas qu’on lui interdise d’exercer son métier.
Avant d’aller prendre mon café en ville, je vais revenir un instant sur le meurtre de la petite Angélique. J’ai déjà, ici même, dénoncé cette compassion voyeuriste des voisins et des étrangers à la famille avec ces incroyables « hommages » en direct à la télé et cette marche blanche indécente qui transporte la haine. Après avoir déversé des tonnes de larmes pour convenances sociales, qui a dégainé la moindre larme sur l’épouse du meurtrier et sur ses deux enfants qui sont jetés en pâture par la foule – insultes, maison caillassée, menaces de mort, etc… - alors que ces trois personnes n’y sont pour rien et sont dans une détresse inimaginable ? Là, il y a quelques chose d’utile à faire. Et la première des choses est de ne pas les rejeter. La compassion est un sentiment utilisé par ceux qui n’en ont pas. Il faut toujours s’en méfier comme il faut se méfier de ceux qui crient « aux loups », car souvent ils sont loups eux-mêmes.
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