« Bertrand Cantat a le droit de vivre
sa vie, il a payé. » a déclaré la ministre de la Culture. « Bien
évidemment, le magistrat et le citoyen que je suis ne peuvent qu’approuver la
libération de la parole et l’action des mouvements féministes. Mais ce combat
pleinement légitime tourne maintenant à la vindicte publique. Sans autre forme
de procès, une véritable mise au pilori en place médiatique. Compréhensible de
la part d’une famille endeuillée, l’utilisation du terme
d' « assassin » appliquée à un homme qui n’a jamais voulu donner
la mort, et moins encore avec préméditation - Bertrand Cantat a été condamné
pour « coups mortels » et non pour « assassinat » qui
retient la préméditation -, me semble difficilement acceptable, car fausse et
démagogique, de la part de responsables associatifs ou politiques. »
dénonce le juge d’application des peines.
Ai-je besoin d’en rajouter ?
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