L’alpiniste, Elisabeth Revol, dénonce la lenteur des secours
qui auraient occasionné la mort de son compagnon de route à 8 125 mètres d’attitude
dans l’Himalaya. La dame n’en est pas à son coup d’essaie. Elle a déjà provoqué
un certain nombre de problèmes en jouant « à la vie à la mort ». Elle
devrait déjà être bien heureuse d’être en vie grâce à ces secours qu’elle renie
et devrait comprendre que quand on prend de telles responsabilités suicidaires,
on en assume les conséquences jusqu’au bout. J’espère que l’Etat va lui faire
payer tous les frais qu’il a engagés pour sa survie et pour sa responsabilité
dans la mort de son compagnon puisque lui n’est plus solvable !
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