Courteline et Labiche n’auraient pas
fait mieux. Les femmes se déchirent dans la délirante comédie dont le premier
acte eut lieu dans une porcherie. Et voilà qu’elles se déciment et se
discréditent pour savoir lesquelles d’entre-elles seront les plus femmes et les
plus irascibles quand à l’émasculation du zizi de l’homme. Ce qu’elles ne
disent pas les fanatiques du féminisme, c’est ce qu’elles font avec leur mâle
respectif et le mâle de leur voisine. Elles assomment le monde avec leur morale
et leur ignorance sur les comportements enfouies hors des consciences qui
règlent la vie du tout à chacun. Ce ne sont pas des lois inventées sous la
pression des langues qui se « délient » qui vont changer quoi que ce
soit. Le rapport entre les sexes opposés est une affaire intime qui ne regarde
pas la société. Et si un des deux protagonistes apporte la violence, il y a des
lois prévues pour le remettre à sa place. Mais encore faut-il que la victime
ait la faculté de trouver le chemin de la gendarmerie. Pas de sexe sans
pulsions féminines et masculines, c’est à dire sans violences consenties. Mais
il est vrai que si cela heurte les consciences, il reste les voies de l’homosexualité
où tout se règlera entre sexes identiques ou encore bien mieux : la masturbation…
la jouissance libre et sans emmerdeurs ou emmerdeuses !
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