Trump l’a dit et répété : il ne
veut pas d’immigration en provenance de « pays de merde ». Plusieurs
jours après sa déclaration les trois quarts du monde restent choqués.
Holà ! Y’a pas mort d’hommes ! Ce qu’à dit Trump, ce n’est que du
Trump et s’il ne l’avait pas dit, Trump n’aurait pas été Trump. Ce pauvre
pantin désarticulé n’a pas rencontré Freud. Il n’a pas fait d’analyse. Il ne
sait pas qu’il a un inconscient et que son inconscient le mène par le bout du
nez. Trump, lui-même, ne sait pas s’il pense ce qu’il dit. Mieux, il ne sait
pas s’il pense ce qu’il pense. Alors pourquoi faire attention à cet individu et
à ses propos ? S’il y a un problème avec ce Roi, c’est au peuple qu’il
faut s’en prendre. C’est lui - le peuple - qui lui a offert le trône des Etats-Unis.
Heureusement, ce pays est le seul au monde qui ait une constitution qui
installe des barrières de protection. Alors... rien à craindre. Par contre, en
France, ce n’est pas la même histoire. La constitution est faite pour le Roi,
qui peut à n’importe quel moment, bouter le peuple dans le précipice. Le Roi de
France, cet enfant impertinent et violent, sous les aspects d’un homme
respectable et bien propre, est le diable en personne. Au lieu de donner à
manger à ceux qui ont faim, il vient de décréter que la baguette de pain sera
inscrire au patrimoine de l’Unesco. C’est vrai qu’il est important et
primordiale de faire rayonner la France. Peu importe le contenu si l’enveloppe
est séduisante ! Et puis, lui – le Roi de France – il ne choque personne.
Il a appris à manier les foules avec son fouet invisible. Et le grand danger, c’est
que lui non plus –apparemment - n’a pas rencontré Freud…
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