Ce qui est navrant et consternant,
c’est qu’il y a encore, en 2018, des espaces entre quatre murs où vivent
ensembles et confinés des groupuscules de larves qui croient sérieusement que
la promiscuité entre papa, maman, bébé(s), mémés, pépés et peut-être tatas et
tontons est l’illustration de la propagande pour le « vivre
ensemble » qui est la plus grande aberration que l’homme ait inventé parce
qu’un illusionniste crétin, malin et fourbe aurait dit « aimez-vous les
uns les autres ». L’homme – encore une fois je ne dis pas « la
femme » puisque celle-ci est comprise dans le mot « homme »
selon la loi orthographique en vigueur – est né sans son consentement pour
vivre à deux seulement, lui et lui et surtout personne d’autre. En ceci, je
respecte et j’applique les conseils de mes maîtres Freud
(inconscient/conscient), Hitchcock (Vertigo/Marnie), Wagner (Tristan/Isolde) et
Lynch (Cooper/Cooper). Vu du ciel, que ces misérables fourmis conditionnées
sont donc tristes…
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