Il ne se passe pas un jour
sans que je ne reçoive, sur Facebook, une demande d’amitié d’une ou plusieurs
truies en manque de fric ou plutôt d’ « affection » ou plutôt de
coïts ininterrompus ou plutôt d’arnaques traquenardeuses. Leur demande renvoie
irrémédiablement à un site pornographique ou de rencontres coquines. C’est la
troisième fois que je signale ces élégantes dames aux tribunaux de justice du
réseau social. C’est la troisième fois que son juge suprême me répond :
« Circulez, y’a rien à voir ! ». Selon le haut magistrat, cela
entre dans le règlement de la maison. Curieux, parce que, moi, chaque fois que
je mets un dessin, un tableau ou une photo d’une dame qui dévoile un bout de
son sein, je suis puni : censure immédiate et par trois fois exclusion
temporaire, la dernière m’ayant été fatale. J’ai été obligé de revenir sous le
déguisement de Joseph… celui qui a été cocufié !
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